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  • : Evolution spirituelle.
  • : Un blog pour noter toutes les expériences spirituelles que nous avons fait ou faisons avec pascal. Un moyen de s'y retrouver et de progresser.
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Thérapies

28 octobre 2009 3 28 /10 /octobre /2009 19:02
Un peu d'observation sur notre fonctionnement:

Globalement, notre fonctionnement tourne autour de deux parties principales qui, une fois synchronisées correctement, se transcendent en une troisième.
Le cerveau (gauche et droit) (mental) situé dans la tête (si si!) est lié à la goutte blanche (donc lié au père).
Le second cerveau (émotionnel) situé dans le ventre (si si aussi!) est lié à la goutte rouge (donc lié à la mère).

Quand les deux sont synchronisés et fonctionnent à peu près correctement (ce qui revient à dire que les nœuds de la goutte rouge et ceux de la goutte blanche sont suffisamment dénoués), le cœur (lié à la goutte indestructible) peut commencer à se dénouer lui aussi (ces nœuds du cœur constituent le niveau spirituel à mon sens*) et à s'ouvrir pour accéder au supra mental (appelons le comme ça), qui transcende les deux autres niveaux de fonctionnement.

Le supra mental obtient les infos instantanément et spontanément de la vacuité, là où se trouve la source créatrice infinie. La seule limite vient de nos filtres personnels.
Il transcende les sentiments duels en amour inconditionnel et compassion.

La transformation est progressive au fur et à mesure où les nœuds se dénouent.

Le dysfonctionnement chronique de l'homme moderne.

Il se traduit par des blessures émotionnelles énormes, et un mental surdimensionnés.
Donc, un premier cerveau qui fonctionne tout seul sur des schémas récurrents (coincé à gauche la plupart du temps), et un second cerveau complètement bloqué qui engendre en contrecoups des dysfonctionnements chroniques dans le premier cerveau. En résumé, le mental est complètement immobilisé dans les mêmes schémas, et il se fait, en plus, intoxiquer par l'émotionnel.

Fonctionner en blessures émotionnelles et en schémas récurrent est tellement habituel, que ça ne choque personne. Mais en réalité ce n'est pas normal.
- L'émotionnel crée une espèce d'armure,  perceptible énergétiquement jusqu'à 2m ou plus de la personne, comme une espèce de coque.
- Le mental, coincé en cerveau gauche, crée du récurrent dans un monde en changement constant : il est donc toujours inadapté et rejoue la même scène indifféremment alors que le décor a changé.
C'est comme si un acteur jouait du Hamlet en boucle, alors qu'on est passé dans une scène de Roméo et Juliette.


Le but des thérapies diverses et variées est donc d'alléger les schémas mentaux qui ne servent plus, et d'évacuer les blessures émotionnelles. Ca reste donc l'axe de travail principal, de débutant à avancé. L'efficacité est exponentielle avec le temps.

Ca ne transforme pas en légume, contrairement à ce qu'on peut croire, mais permet de remplacer les schémas répétitifs du mental par une synchronisation des deux cerveaux, à la fois créative et adaptée; et de laisser l'émotionnel s'exprimer en décharges, pour ne pas stagner.

Niveaux de travail:

1)  Au départ, on est obligé de passer par un tiers ou d'évacuer un truc au niveau physique (sous forme de maladie). C'est long et les problèmes ont tendance à partir un à un, et avec l'aide d'un thérapeute. (ou médiation, yoga, qi qong etc...)

2) Sur un niveau intermédiaire (le guérisseur , le magicien, le sorcier) on est capable de bosser sur sa propre structure énergétique par différentes techniques. Attention! On peut bosser sur celles des autres, mais il y a des pièges : le sorcier qui écoute son Ego et se sert de toutes ces pratiques contre les autres, et le guérisseur qui se pose en sauveur.  Les deux doivent s'attendre à des contrecoups importants, puisqu'on ne fait plus de karma ces temps ci. Le mieux reste de bosser sur soi, ou, si on est guérisseur de par sa mission d'âme, le faire avec un positionnement neutre. Si on est un sorcier, eh bien va falloir évoluer très vite ou s'attendre à avoir très mal au cul.  Sauf si on le fait aussi avec un positionnement neutre (donc, qu'on est dans l'action juste). Mais, par définition, le sorcier est plutôt dans l'Ego.

Les techniques sont multiples (double du futur, reïki, chanelling, médiumnité pour trouver la source d'un problème, esprits de différents niveaux, lieux sacrés etc...) Ca va beaucoup plus vite, et souvent on résout les problèmes avant qu'ils ne se manifestent dans le corps. Très très pratique. Mais bon, on ne gagne pas à tous les coups non plus.
Les contrecoups sont là quand même.

3) Sur un niveau plus avancé (le mystique) on peut abandonner le contrôle du mental sur l'énergie et laisser notre part divine (donc la vacuité) prendre tout en charge. C'est de loin le plus efficace, parce qu'elle peut régler tous les problèmes nécessaires simultanément en un instant. Mais ça nécessite un abandon total au divin, totalement impossible pour la plupart des gens sans un certain niveau de pratique. (même si certains y arrivent spontanément quand même, les coquins ayant dû un tantinet pratiquer dans d'autres vies).
L'idée ici, c'est plutôt qu'on lâche le contrôle mental et que, du coup, on retrouve notre état divin naturel, qui lui est un fonctionnement parfait et qui va donc résoudre tout ce qui ne convient plus.


Energies planétaires.

Nous sommes soumis à l'influences des énergies planétaires constamment. En ce moment, elles sont sur une logique d'évolution, ce qui fait que ceux qui ne s'y opposent pas inconsciemment (pour raisons karmiques), vont avoir tendance à lâcher des problèmes spontanément.
Ils en auront donc les avantages et les inconvénients. C'est ce qui provoque le pétage de plomb, mais aussi l'évolution d'une quantité importante de la population en ce moment.


Contrecoups du boulot sur soi:

1) Maladies.  La matière est ce qui lâche en dernier. Donc, si le corps n’est pas d'accord, on va avoir des douleurs chroniques au moment de lâcher un truc, ou bien des maladies diverses. Pas forcément graves, mais quand c'est fréquent c'est chiant. (rhume chronique etc...)
L'émotionnel en vrac est un des contrecoups le plus fréquent (avec des hauts et des bas chroniques).

2) Les énergies qui crament.
Ca c'est très désagréable. Quand on travaille sur l'énergie, à un moment notre niveau global monte en fréquence. (en résumé on est un tas d'énergies qui tournent autour d'une gamme de fréquences données.) Si on se met à vibrer plus haut, certaines parties de nous et manières de fonctionner, ne conviennent plus.
Ca se traduit par une sensation de brûlure au niveau de ces énergies. Ce qui peut être très douloureux.

Ca se règle à coup de travail énergétique, mais faut être précis ou s'en remettre à des êtres spirituels (c'est pire qu'un mikado multidimensionnel le corps énergétique, on touche un truc, y'en a dix qui bougent) ou mieux encore en lâcher prise au divin.

Si on vit une évolution importante, on se met à brûler de partout et ça peut être long pour résoudre tout ça.
L'idée c'est qu'on crame tout et on refait tout. On meurt et on renait.

(La première fois que ça m'est arrivé il m'a fallu un mois de boulot pour m'en remettre entre l'intervention d'êtres spirituels divers, et le travail sur moi (par des méthodes de manipulation énergétique).
Il m'est arrivé deux autres évolution de ce type récemment, et ça c'est réglé en 3 heures en m'abandonnant au divin. Les 3 heures étant le temps qu'il m'a fallu pour m'abandonner complètement pendant que je cramais et avoir toutes les infos que je devais avoir sur la nature des modifications. Certaines choses doivent devenir conscientes pour lâcher.)

Ce qui est intéressant c'est de voir l'effet d'une thérapie sur les techniques d'observation du monde. Vous allez voir qu'après chaque thérapie il y a un contrecoup et une modification de la perception du monde et c'est de plus en plus marqué. L'avantage c'est qu'on peut observer l'efficacité, ou l'inefficacité d'une thérapie en direct. Bien sur, il faut avoir pratiqué pas mal pour des modifications importantes. Au départ, c'est peu marqué et ça nécessite un certain discernement (ou une observation extérieure) pour voir si on a bien avancé. D'où l'intérêt de bosser en groupe ou avec différents thérapeutes.


*
Le spirituel est un niveau délicat où on peut accéder à beaucoup de choses étranges. Il faut être suffisamment enraciné (donc avoir travaillé assez l'émotionnel et la goutte rouge) pour pas en revenir dingo. Pourtant on ne peut pas y couper, il faut le traverser, et c'est là que le karma, les vies antérieures (dans différents espaces temps, des fois très bizarres) vont s'inviter dans nos thérapies. Rester bien centré, et se rappeler que si on s'est incarné sur terre, c'est pour faire quelque chose de précis. Tant qu'on est vivant, c'est que l'âme considère qu'on peut encore évoluer sous cette forme et dans ce monde ci. A ne pas oublier.

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25 octobre 2009 7 25 /10 /octobre /2009 07:00

Brel est un des rares chanteurs dont je connais plusieurs chanson par coeur depuis mon adolescence. Simplement parsque ses chansons m'ont toujours parlé et qu'il a toujours été clairement relié à des niveaux très haut.
Comme je l'ai déja dis, un artiste véritable est toujours relié à l'invisible ou au divin d'ou il puise son inspiration (le mental ne peu pas créer).

J'ai vu son interview posté par quelqu'un sur le forum de jp, et effectivement en quelques mots il résume tout.




Je cite (un peu de travers) globalement:
"Les gens croient qu'il vas arriver des choses, mais dans la vie il n'arrive rien, dans ma vie il ne m'est arrivé que moi."
"Dieu c'est les hommes,  et un jour ils sauront"

Vous noterez la finesse de sa compréhension du processus qui prive l'enfant de sa nature divine, et l'ammène à entrer dans l'immobilité et se couper de la vie.

Idem pour l'adolescence : en deux mots il exprime à quel point nous restons bloqués dans la phase de structuration de l'identité pour ensuite trainer dans l'homme d'action jusqu'a la mort.  
"On reve tout entre 10 et 15 ans et le reste de notre vie consiste a essayer de vivre ces rêves."

Et il y en aurais beaucoup à sortir, entre les choses dites clairement, à demi mots et les énergies derrière.
Mais globalement c'est dur d'etre plus clair, surtout à son époque.

Bien évidement ce qu'on persoi de cette interview dépend de son propre niveau de conscience et du niveau ou on regarde.

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23 octobre 2009 5 23 /10 /octobre /2009 19:29
Cet exercice en dit long sur le niveau d'éveil réel de la personne. Il y a différents niveaux de visions.

1) On considère tout comme une fatalité et ne voit qu'un monde extérieur qui nous heurte plus ou moins.
A ce niveau là, forcément, à part essayer de gratter un max de bonheur, et éviter un max d'ennuis, comme on peut, on ne voit pas très bien ce qu'on peut attendre du monde.

2) Ensuite, on comprend que les choses ne semblent pas totalement arriver par hasard, et qu'il existe d'étranges coïncidences. On voit bien qu'il y a comme un truc bizarre, qui est totalement illogique si on considère l'univers comme un truc extérieur et aléatoire. Brusquement, j'ai besoin de telle chose et elle arrive, tel message sur la publicité semble être la réponse exacte à la question que je viens de me poser etc..

3) On comprend que notre perception du monde est déformée par notre émotionnel, notre mental, et plus tard notre karma (quand on accède au spirituel). Que les événements qui arrivent sont provoqués par une part inconsciente mais bien issus de nous. Donc, que notre interaction avec ce monde est très importante.

4) On comprend que ce qu'on perçoit n'est que de la lumière vide déformée par notre esprit, et que donc, tout ce qui s'y trouve n'est réel que parce que notre étincelle divine le crée. Ce qu'on y voit dépend directement de notre niveau de conscience et n'est que notre création. Donc l'extérieur est une projection de l'intérieur.

5) On comprend que tout notre monde manifesté n'est qu'une projection du centre (donc de notre étincelle divine) déformée par notre âme (donc notre karma).C'est pour ça que plus on nettoie notre âme, plus on perçoit le divin en tout. C'est pour ça qu'il n'existe qu'ICI et MAINTENANT et rien d'autre.
Le temps et l'espace n'existent pas et sont notre projection. L'intérieur et l'extérieur ne sont pas séparés.
A ce niveau, on comprend que notre monde manifesté est notre responsabilité totale et qu'il ne s'y trouve que nous même.*



Il y a différents niveaux pour tous ces aspects:

a) L'intuition de ces choses. (on le perçoit, mais on n'en a pas la preuve)
b) La compréhension profonde par l'expérimentation directe mais ponctuelle et indépendante de notre volonté.
c) La possibilité d'interagir par soi-même avec le monde manifesté. (on peut en faire l'expérience à volonté.
Par exemple dans l'étape 3, on peut ouvrir un livre au pif et la première phrase est toujours la réponse à notre question. Si on veut faire de la divination sur le vol des oiseaux dans le ciel, ça marche en gros.
Dans la phase 5, on pourrait avoir une réelle maitrise de son monde manifesté.)


*
Les autres, (au sens large, j'inclus chaque brin d'herbe!) sont des portails vers d'autres mondes et nous fonctionnons comme des ordinateurs en réseau dans le monde manifesté. Mais chaque ordinateur est entièrement responsable de ce qu'il modélise, et n'entrent dans son monde que les consciences avec qui il y a un lien et sous la forme que la personne lui donne.
La connexion étant sans forme et au delà de la dualité (là où nous sommes tous UN), n'y entre que ce que l'étincelle divine de la personne y a invité, pour son évolution. (Cette connexion étant la première vision en perception sans forme que j'ai faite)

PS:


Quelques remarques :

La différence entre la recherche du sacré et la phase du chercheur est conséquente:
L'adolescent est en fuite du changement (donc de la vie et la mort) et doit l'accepter pour évoluer. Sa quête du sacré est une fuite de la vie en réalité (c'est pour ça qu'il peut finir suicidaire et dans le morbide : c'est une fuite de son évolution en réalité!). Le chercheur, à l'inverse, est en quête perpétuelle d'évolution, donc de changement ! Même s’il fuit, lui aussi, le monde matériel.
En résumé : l'homme ordinaire fuit la mort, le chercheur la poursuit et l'enlace comme un amant. Ayant finalement compris qu'elle n'est que l'énergie du changement et de l'évolution , donc de la vie elle même, et pas les trucs morbides auxquels le mental la rattache dans la dualité (par peur).

Différences entre le chercheur et le voyant:
Le chercheur croit encore que le divin est à certains endroits et pas à d'autres. Il continue à courir après des choses extérieures. Le voyant a compris que tout n'est que de la lumière issue de lui, et il commence à inverser son regard pour remonter à sa source de la lumière. Pour le voyant tout est divin, la question est simplement d'unifier tous ses aspects pour le percevoir en tout.

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20 octobre 2009 2 20 /10 /octobre /2009 07:06
Je rajoute quelques précisions.

Le but du texte d'avant est juste de faire comprendre que l'homme est dans un processus de transformation naturelle qui nécessite de vivre différentes étapes.

Les gens qui sont dans une étape donnée, vont souvent considérer qu'ils ont 'la vérité' dans les mains et l'exposer telle qu'elle en disant aux autres un truc du genre 'fais comme moi et tu évolueras, le reste ne sert à rien'.

Or, ils ne comprennent pas qu'ils sont dans leur vérité du moment M. Voir des types dire qu'il n’y a rien à faire alors qu'ils ont passé leur vie à chercher est presque comique. Ils devraient dire 'maintenant je n'ai plus rien à faire' et ils seraient dans le vrai, mais s’ils n'avaient pas vécu ce processus ils n'auraient pas évolué.

Du coup, cette spiritualité à deux balles est récupérée par des gens qui se disent 'bon ben y'a rien à faire' alors je vise direct l'étape du Bouddha ou du voyant et c'est dans la poche, je ne vais pas m'emmerder avec les autres étapes.

C'est comme si un gamin de 5 ans voulait en avoir 40 du jour au lendemain.  Ca n'a aucun sens. En résumé, il faut prendre le temps de vivre le processus de transformation sinon il n'a pas lieu.

La plupart des gens sont dans la phase 2 (recherche et création de l'identité) durant toutes l'adolescence et jusqu'à un âge avancé (30 ans voire plus pour certains) et passent la phase 3 (Ego) péniblement jusqu'à la fin de leur vie.  Les gens entrent dans la spiritualité pour plein de raisons mais 99% ne sont pas dans une démarche de chercheur, mais dans une démarche de structuration de leur identité, ou d'Ego (ceux qui veulent devenir un maitre le plus vite possible pour dominer les autres  etc...).

Le but n'est pas de faire de la morale ou de mettre des phases pour faire plaisir à l'Ego, c'est juste d'expliquer pourquoi il faut prendre le temps de vivre sa propre vérité et de laisser se dérouler son cheminement. En évitant le piège de l'éducation qui nous empêche de structurer notre identité correctement et ensuite nous enferme dans l'homme d'action pour les plus chanceux.

Donc, les ados prenez le temps de structurer votre identité et d'entrer dans l'homme d'action entre 12 et 25 ans et vous ferez déjà mieux que la plupart des gens.


PS:
Les ados sont systématiquement entre la deuxième et la troisième étape  et leur but est de la dépasser. Ils confondent souvent la recherche du sacré (lié au deuxième chakra) avec celle du chercheur. Il faut prendre le temps de structurer son identité sinon on finit coincé.

La phase d'initiation de l'adolescent permettait traditionnellement de clôturer la phase 2 pour entrer dans la phase 3. Cette étape n'existe plus du tout et c'est donc catastrophique parce que, du coup, les ados n'arrivent déjà pas à se structurer une identité et encore moins à entrer dans la phase d'homme d'action.

Le donateur ne donne pas du tout par morale, mais parce que, après chaque don (de son temps, de ses biens etc...) il éprouve un sentiment de plénitude réel. Cette phase a été expérimentée par tout le monde au moins une fois dans sa vie, mais y entrer pleinement est une autre histoire. La plupart des gens ne dépassent pas l'homme d'action aujourd'hui, parce que notre société fonctionne ainsi et nous éduque ainsi. Aller au delà c'est forcément renier son éducation. Ca ne peut pas être fait  facilement et encore moins très tôt ( à moins d'être un avatar).

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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 05:53
Au final, la classification de Deepack Chopra me semble assez juste, même si on ne peut pas la prendre de manière aussi littérale. Parce que les choses dépendent énormément du karma de la personne et on évolue de manière pas forcément aussi tranchée. Mais ça a le mérite de faire un référentiel.

Globalement, il distingue 7 niveaux.

1=> Innocence (bébé dans les premiers instants, avant la séparation)
2=> Naissance de l'Ego (séparation du monde et création de son identité illusoire)
3=> L'homme d'action (celui qui vit à fond son Ego)
4=> Le donateur  ( celui qui découvre que donner librement le satisfait également et commence à s'intéresser aux autres)
5=> Le chercheur (de Dieu) (celui qui part en quête de divin, toujours suite à une expérience spirituelle ou un choc profond dans sa vie : qui, bien sur, n'a pas eu lieu au hasard...)
6=> Le voyant (de Dieu)  (celui qui s'abandonne à l'esprit divin et le laisse prendre sa vie en main)
7=> Le magicien (ou le Bouddha)  (celui qui ne fait plus qu'un avec le divin)

Il faut comprendre que chacune de ces phases doit être vécue pleinement par la personne à un moment ou un autre. Leur durée dépend directement du karma plus ou moins chargé.

Chacune de ces phases apparait dans un grand bouleversement et une grande crise, parce qu'elles imposent un changement de comportement radical et une transformation importante de la personne.

Le chercheur nait d'un grand mal être ou d'un choc. On ne part pas en quête spirituelle (à l'autre bout du monde ou en restant dans son fauteuil) simplement comme ça. Et souvent, il s'agit d'une fuite de sa vie, à l'origine. Le chercheur ne se satisfait plus de la vie matérielle simple et veut se transcender en quelque chose d'autre. Il va donc être prêt à tout expérimenter pour ça.  Ca peut être plus ou moins long (dans mon cas, ça a commencé à l'époque de la méditation et a fini avec la fin des buts, il y a quelques semaines, donc en résumé, ça a duré 14 ans). Cette phase rencontre pleins d'écueils que j'ai essayé de détailler au mieux dans mon journal de 'chercheur'. Il faut accepter le cheminement par cette étape, simplement.
 
Le voyant nait quand l'Ego est complètement dépassé et que la personne, enfin, s'en remet à sa part divine. A ce moment, les buts disparaissent et le fonctionnement ordinaire ne va plus marcher. On entre dans une phase où c'est la part divine (l'esprit divin) qui décide de tout. Simplement parce qu'on n’est plus capable de prendre la moindre décision avec son Ego. Il ne fonctionne plus comme avant et son inexistence (tout comme celle d'une identité propre et d'un fonctionnement indépendant de celui de l'univers) est devenu une évidence. Il n'est plus nécessaire de chercher quoi que ce soit, simplement s'abandonner.

Il faut bien comprendre que tout le monde n'en est pas à la même phase, donc quand je lis une phrase du genre 'il n'y a rien à faire' je dis, attention, tout dépend de là où vous en êtes. Vous noterez que la plupart des gens qui disent ça ont tout vécu avant : simplement parce qu’avant de devenir des 'voyants' ils étaient des 'chercheurs' ! Gardez le à l'esprit en lisant les témoignages des autres, et n'oubliez pas que chaque expérience est unique dans son cheminement, même s’il existe des phases reconnaissables au final.

Prenez le temps de vivre votre vérité, quelle qu'elle soit.


PS:
1) L'expérience de l'homme se déroule dans un premier temps par une phase de singe pensant et ensuite par une phase d'humain véritable. La phase du singe (de l'Ego) permet de dépasser le niveau animal et de créer une identité propre. Toutes les vies passées à ce niveau tournent sur la notion de victime, bourreau ou sauveur. Mais au final c'est un processus nécessaire. Quand on est prêt à le dépasser, l'Ego va pouvoir se transcender et on peut enfin retrouver sa part divine et la laisser prendre les choses en main.

2) Un ado (entre 12 et 25 ans dans notre société) devrait chercher à vivre l'homme d'action à fond, pour pouvoir le dépasser plus tard. Bien sur, rien d'aussi tranché, on peut faire de la spiritualité, mais il ne faut pas négliger cette étape.

Comme d'hab c'est juste mon avis sur la question.

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13 octobre 2009 2 13 /10 /octobre /2009 18:53
C'est une version un peu plus poussée de l'exercice 1 et 2.

Ici, toujours sur le même trajet et en écartant les bla bla, il s'agit de se mettre à l'écoute du monde lui même.
Pour cela il suffit d'être réceptif, simplement. Quand vous lisez un texte, entendez une musique, voyez quoi que ce soit, laissez venir ce qui vient avant la saisie mentale.

Voyez ce qui vous parle vraiment. Ca peut être un morceau de texte de publicité ou un événement anodin. N'importe quoi en fait. N'essayez pas d'analyser, si rien ne vous parle, tant pis. Il s'agit d'être patient et réceptif.

Le résultat de cet exercice dépend directement du degré de conscience de la personne qui regarde. Pas de don médiumique, ou d'autres choses. Simplement du degré d'éveil. Plus on s'éveille au monde, plus on perçoit à quel point l'univers s'adresse à nous sans arrêt et par tous les moyens possibles.

Au départ le monde peut nous sembler quelque chose d'extérieur qui n'a rien à faire de nous. Mais c'est une projection mentale en réalité. Nous croyons en être séparé et être insignifiant (inconsciemment, même pour les plus prétentieux) et nous projetons cette illusion autour de nous.

Mais plus nous ouvrons les yeux, plus les messages de notre esprit divin deviennent flagrants et constants. Dans les coïncidences, les mots, les musiques, les choses qu'on voit. Avec de la patience, on peut nouer un véritable dialogue avec l'univers, rien que par l'intermédiaire du monde manifesté que l'on contemple.

Il s'agit d'écarter la saisie mentale et d'être à l'écoute de son ressenti, simplement.

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7 octobre 2009 3 07 /10 /octobre /2009 06:21
Lien vers la vidéo de démonstration de jp : marche avant / arrière

Cet exercice, en apparence anodin, permet en fait de faire bouger pas mal de choses.

1) Il permet de travailler à rééquilibrer le yin / yang. (marche avant yang, marche arrière yin).
L'homme actuel est perdu dans une fuite en avant, or, le monde fonctionne en flux / reflux. Le déséquilibre planétaire actuel est lié en bonne part, à l'excès de yang, et les énergies actuelles ont pour logique principale de rééquilibrer le yin planétaire. Donc permettre un équilibre masculin / féminin, à la fois à l'extérieur et à l'intérieur. Au lieu d'une domination de l'un ou l'autre. Autant dire qu'il y a du boulot.

2) Il permet de travailler les chakras arrières qui sont souvent négligés dans les pratiques. Autant dire qu'il y a un sacré décrassage à faire.

3) Il permet de retrouver sa verticalité (au moment du changement et du balancement). En réalité l'homme véritable se tient dans la verticalité alors que le singe est courbé. Ce principe de verticalité se retrouve dans toutes les pratiques spirituelles (arts martiaux , méditation ou autres.)

Du coup, même avec très peu de pratique, cela  fait monter largement le niveau vibratoire et  nettoie les énergies négatives. Donc, ça permet un recentrage très important et une évolution à terme.

Pour ceux qui pratiquent, y aller mollo au début et monter la durée s’il n'y a pas trop de contrecoups (suivant le niveau de la personne donc.). Parce que forcément, ça décrasse.

La course ou la marche arrière présente les mêmes avantages. Ca permet également d'augmenter le niveau de conscience.

Suite à un stage où j'ai rencontré la personne qui fait la course arrière (Christian Grollé), J'ai commencé à travailler une de ses techniques marche avant/arrière en couple, qui semble très efficace. Je ferai un retour dessus quand je serais rodé.

Je mets le lien vers son site, il y a peu de chose en français, parce que cette pratique n'est pas encore bien introduite en France, alors qu'on la trouve partout dans le monde :


http://www.backward-running-backward.com/

* * *

Le physique est souvent négligé par les pratiquants de spiritualité. Ce qui est une grave erreur à mon sens. La marche à pied permet de synchroniser les deux cerveaux, entre autres, et les arts martiaux ou autres pratiques (yoga, tai chi etc..) permettent de se tenir dans la verticalité et de renforcer son corps pour la pratique.

Il faut bien comprendre que le but est de faire descendre l'esprit dans la matière. Y'a pas intérêt à faire passer de la haute tension dans la prise du salon, sinon ça grille. Pour le corps, le principe est le même.

Depuis deux ans, je marche en moyenne 1 heure par jour. L'an dernier j'ai pratiqué 15 heures par semaine entre le tai chi, le kung fu, le qi qong. Et je n'ai jamais autant progressé que depuis deux ans. (Pascal lui, fait de l'aïkido comme un taré en ce moment).

En résumé, l'homme se tient entre la terre et le ciel. Si on ne fait que de la méditation assise, on risque de ne pas connecter la terre correctement (à moins d'être dirigé par un maitre authentique, mais bon, tout le monde n'a pas cette chance). Les pratiques martiales sont bien mais pas toujours adaptées à tous. Alors que les pratiques de marche sont bien plus simples, et très efficaces.

Si on pratique la méditation en mouvement, la méditation assise, la méditation en dormant (s'endormir en ayant conscience de la lumière, donc conscience dans la tête) , au final on pratique 24h sur 24 ou presque. Et c'est précisément ce que je fais. Inutile de changer sa vie pour ça. Ce sont juste des habitudes à prendre en commençant doucement et en augmentant tous les jours.

La méditation en mouvement n'est donc pas anodine du tout et c'est une technique de base à acquérir à son rythme. A terme, en cumulant cette méditation et la marche à pied, on est toujours en train de pratiquer sans rien avoir changé à ses habitudes (si ce n'est + de sport).

PS:
Depuis un mois et demi, les énergies sont là pour nous faire réintégrer notre enracinement et la vie elle même, ce qui produit des remises en questions importantes. Cette pratique de marche avant / arrière est très adaptée, entre autres, pour faciliter les choses et passer le cap.

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30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 19:36
Nous ne réalisons plus à quel point nous nous enfermons dans une bulle étanche dès que nous sortons de chez nous.

Là, il s'agit, lors du même trajet, de prendre le temps d'échanger avec son environnement.
Pas à un niveau verbal ni médiumnique, mais à un niveau corporel et ressenti simple.

Qu'on le veuille ou non, cet échange a lieu à un niveau inconscient. Mais il s'agit de prendre conscience petit à petit de cet échange. Chaque fois que vous croisez quelqu'un, une part de vous va échanger avec l'autre et une partie de cet échange va arriver au niveau conscient (sous différentes formes).
Il s'agit d'y prêter attention mais pas de s'en saisir mentalement. Donc de constater simplement. (on peut analyser après coup à la fin du trajet).

99% de la communication sont non verbales* avec un autre humain. Et ces 99% de communication existent avec tout l'environnement. Aussi bien ce qui parait inanimé que ce qui parait vivant.

Là, il s'agit d'être attentif/réceptif à cet échange non verbal avec différents types de population:
- humain
- animal
- végétal
- minéral

Rien de bien compliqué, simplement prendre le temps de mettre l'intention de l'échange en laissant toujours le soin à votre part divine de gérer le reste. Un simple 'bonjour intentionnel' (donc non verbal) avec ce que vous croisez. Et laissez faire en observant ce que ça donne. Mais sans penser ou juger.

Là, il s'agit d'être à l'écoute de son ressenti et de ses réactions primaires avant que le mental ne s'en saisisse!
Donc, soit on a assez pratiqué pour écarter ou détourner cette saisie mentale, soit on essaie de percevoir avant qu'il ne donne son avis. Ca permet de commencer à rendre conscient une partie de l'échange inconscient avec l'environnement.

Il s'agit simplement de voir à quel point on est dans une ignorance volontaire de l'extérieur, et à quel point on essaie de se réfugier dans son intérieur tout le temps.

Cette bulle doit s'ouvrir un peu pour commencer à interagir en conscience avec son environnement.

*
Ca inclut le langage corporel, les émotions, mais également le ressenti qui en découle.
Là, nous sommes en dehors de toute considération énergétique ou médiumnique.

Avec un homme c'est évident. Va t-il se fermer, reculer, faire un écart, vous sourire, s'ouvrir etc..
Vous noterez le rapport dominant/dominé évident : celui qui détourne les yeux le premier est le dominé. Attention : si vous insistez, ça peut aller à la bagarre! Les gens qui ne détournent jamais les yeux en premier sont hyper dominants. Ca va très vite quand les regards se croisent (en un éclair) mais c'est marrant à observer. Baisser les yeux suffit à désamorcer un conflit, bien souvent, mais ça doit être fait avant d'en arriver au contact verbal ou physique. En résumé on accepte d'être dominé et l'autre considère inconsciemment qu'on n’est plus un danger.
Juste un truc marrant comme ça , mais les comportements inconscients des singes pensants sont très marrants à observer physiquement et il y en a un paquet. C'est le troisième chakra qui gère ça : s’il est parfait chez vous, vous pouvez même être un coach. S’il est défaillant, vous risquez de jouer à Rantanplan dans toutes les situations sociales. Ce qui, souvent, provoque des rejets sociaux, ou un malaise en public.

Avec un animal, l'échange non verbal est assez flagrant.
Avec un végétal, ça l'est moins, mais il suffit de voir ce qu'il inspire comme émotion : attirance, répulsion, joie , etc...
Avec un minéral ça l'est moins encore. Mais c'est pareil qu'un végétal : attirance / rejet, neutralité? etc... (cette pierre vous a toujours plu, ou bien vous détestez sa forme etc...)

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28 septembre 2009 1 28 /09 /septembre /2009 19:30
Le but de l'exercice 2 est de soulever différents points:
- Faire prendre conscience que nous ne sommes jamais présents là où nous sommes, mais toujours en 'fuite mentale' vers un ailleurs ou dans l'extrapolation de ce que nous voyons. Ca en est au point de l'hypnose constante. C'est ça que veut dire le terme 'dormir'. Les gens moyens dorment et rêvent constamment sous hypnose de leur mental.
- Réaliser à quel point il est difficile, voire impossible au départ, d'apaiser le mental et de l'empêcher de s'emballer même quand on a conscience de ce fait.
- Entrapercevoir à quel point nos réactions et ce que nous voyons sont rendus stéréotypés et sans intérêt par lui et à quel point il fonctionne sur un mode de peur personnel et pas de perception objective.
- Comprendre ce que veut dire la 'saisie' du mental. Quand on regarde quelque chose ou qu'on fait quoi que ce soit, il s'en 'saisit' immédiatement en émettant un flot incessant d'avis, en bloquant nos actions et en stéréotypant nos réactions.

Les avantages.

L'exercice II est en fait une pratique de méditation en mouvement.

- Elle permet de pratiquer au quotidien pendant un trajet incompressible qui ne sert à rien (au niveau mental). Donc, même des gens très occupés peuvent trouver le temps de pratiquer.
- Ceux qui ont une pratique assise, vont s'apercevoir à quel point elle devient facile et s'améliore quand on a travaillé un temps la méditation en marche.

Les obstacles:


C'est très pénible à maintenir plus de quelques minutes au début. Simplement parce qu’il existe plein d'obstacles inconscients. Donc, il faut y revenir sans arrêt.

- Très dur à maintenir pour le débutant, on veut toujours revenir à une pensée au départ. (peur des autres, peur de l'extérieur, peur du vide intérieur , des peurs il y en a un paquet, et le débutant n'a pas conscience que c'est la peur qui le ramène à la pensée ...)
- On peut entrer dans un vide détaché et sans intérêt : on est mis face à son manque d'enracinement et à notre propre coupure de la vie. Celle que le mental fiévreux sert précisément à fuir. Dans ce cas remercier le divin de s'en occuper et ne plus s'en soucier (pour lâcher cette fameuse saisie mentale justement!).*

On va s'apercevoir que le mental a forcément besoin de s'accrocher a quelque chose. Nous verrons plus tard quelques points d'attache à lui fournir pour une pratique de base à plus avancée.

PS:
Il ne s'agit pas de forcer quoi que ce soit, mais faire tranquillement comme on peut, un petit peu chaque jour.
Sans avoir écarté un minimum cette saisie constante, toutes les autres pratiques restent illusoires et sans effet.
Au pire, elles conduisent à une auto illusion, puisqu'elles vont être récupérées par le mental systématiquement, et lui, va accorder les choses à sa névrose et à ses peurs.

*
C'est le travail sur l'enfant intérieur, l'enracinement et l'instinct qui débloque cet aspect. Il est lié aux chakras du bas.
C'est à ce niveau qu'on trouve toute la perversion cachée sous le tapis et les énergies de vies 'déguisées' en démons par le mental et l'éducation. Plus on libère l'enfant intérieur et guérit les peurs, plus on entre dans le divin au niveau du  monde manifesté. Cet endroit est primordial à libérer pour retrouver la vraie vie et sortir du virtuel. Toutes les thérapies possibles sont les bienvenues, et de toute façon, les énergies actuelles s'y attellent si on les laisse faire.

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23 septembre 2009 3 23 /09 /septembre /2009 19:27
Il s'agit d'observer une étape répétitive de notre vie. Le trajet pour aller au boulot (ou à l'école, ou pour les courses si on ne bosse pas). Si c'est à pied c'est bien, mais en moto, en voiture, en bus, en métro , peu importe.

On va prendre le temps de regarder autour de soi. Rien de plus.

A chaque fois, vous allez vous apercevoir que la machine à bla bla se met en marche instantanément (bla bla bla et au travail, y'a ça, et il faut que je fasse ça bla bla bla). Laissez passer ces pensées là, et reportez votre attention sur ce qui vous entoure.

Vous pouvez regarder :
- La nature qui vous entoure (il y a toujours des arbres, des plantes, des oiseaux, le ciel! depuis combien de temps n'avez vous pas pris le temps de regarder le ciel pendant un embouteillage?)
- Les gens. C'est fascinant de regarder les gens qui nous entourent. Ca aussi c'est marrant dans le métro ou dans les embouteillages.
- Les couleurs, les sons, les odeurs.

A chaque fois que vous regardez quelque chose, la machine à bla bla se met en marche et donne un avis ou enchaine sur un truc virtuel. Laissez passer et n'y portez pas attention. Ramenez simplement votre attention sur ce qui vous entoure directement et laissez les bla bla passer.

exemple :
- Quelqu'un passe. (bla bla : oula il est comme ci, comme ça, c'est bien , c'est mal etc..; on laisse passer et on se contente de regarder.)
- Un arbre (bla bla : ce week-end je dois jardiner : on laisse passer.)
- Une pub pour un truc (ah c'est vrai que c'est bien ça , je vais en acheter un : hop on laisse passer.)

Essayez de faire ça tous les jours, en redécouvrant le trajet chaque jour comme si c'était la première fois.
Laissez la machine à bla bla en second plan. Dès qu'elle part, vous laissez passer les pensées.

Voyez ensuite sur quel temps réel de trajet vous avez été en train de regarder la réalité et combien de temps vous avez passé en bla bla qui n'ont rien à voir, sans même regarder autour de vous. Voyez avec quelle vitesse vous jugez et partez sur des considérations qui n'ont rien à voir avec chaque chose que vous voyez. Vous verrez que c'est saisissant.

Inutile de forcer, laissez faire ce qui vient comme ça vient.
Le but est de s'observer et d'observer l'extérieur sans jugement et sans attente.

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