24 avril 2009
5
24
/04
/avril
/2009
19:05
Le temps semble pas mal détraqué.
Un coup il fait beau, un coup il fait soleil, un coup il fait froid, un coup il fait chaud etc...
Ca fait des années que l'inconscient collectif a assimilé la notion de mauvais temps comme désagréable. Parce que, du coup, on ne va pas à la plage, parce que le vent très fort, ça fait peur, parce que si, parce que ça.
Bon, chaque fois qu'il pleut, que le vent souffle ou qu'une tempête fait rage, c'est qu'un nettoyage est en cours. En ce moment, nous avons droit à un gros nettoyage interne et il y a un gros nettoyage externe en parallèle : d'où le temps déglingué.
Ce n'est pas un signe de mauvaise santé de la planète, au contraire! A chaque nettoyage la nature est encore plus limpide, tellement que je ne la reconnais pas, chaque matin en me levant. Il n'est pas un matin où les choses ne se soient améliorées en réalité.
La plupart des gens sont aveugles à la nature. Le fait est que je n'ai aucun Ego vis à vis d'elle (j'ai grandi devant un pc), et que du coup maintenant je la vois plus ou moins telle qu'elle est (donc, toujours plus ou moins divine). Gaïa, par elle même, va très bien. Mais il faut comprendre une chose : qu'elle soit recouverte d'oxygène ou de gaz carbonique, ça ne change rien pour elle.
Les humains ont un gros souci égocentrique, qui fait qu'ils confondent leur société et la planète elle même.
La planète va plutôt bien, et elle est en train d'ascencionner pour que son corps (3D) rejoigne son esprit (5D).
Par contre, la société des humains ne va pas super bien, et les conditions de vie pour que l'humain continue d'exister sur la planète, c'est du boulot pour les maintenir. Vu que l'humain est dépressif suicidaire au niveau collectif, et qu'il essaye par tous les moyens de rendre la planète inhabitable pour lui.
En plus, il est dans le déni* de son état, et il continue à regarder les chiffres de la bourse, au lieu de se demander s’il va pouvoir respirer de l'oxygène encore longtemps. Gaïa (qui décidément est bien gentille) a décidé de nous emmener quand même avec elle. Du coup, le plus gros boulot consiste à aider Gaïa à maintenir un état viable pour nous, et pour ça, il faut lui envoyer l'énergie nécessaire.
Les esprits de la nature (vous savez les trucs qui n’existent pas, mais qui font que les radis et les plantes poussent spontanément tout seuls), ont besoin de beaucoup d'énergie pour faire leur boulot de nettoyage planétaire et maintenir l'équilibre pour nous. (ne parlons pas des orbs qui essayent de maintenir les champs magnétiques de la planète, pendant que nos tarés de sfr, bouygues et autre psychopathes suicidaires, continuent de nous faire gober que mettre des antennes qui perturbent le champ électromagnétique de tous les êtres vivants de la planète sur toute la surface du globe ou presque, est sans conséquence).
L'avantage c'est que, nous autres humains, sommes de super relais énergétiques, alors au boulot! Il est temps de se reconnecter à Gaïa pour relayer les énergies du ciel et lui permettre de nous aider.
* La folie suicidaire actuelle est niée mondialement. Un bon gros déni à l'ancienne.
Ce déni là, par contre, n'est pet être pas très naturel, et a peut être été implanté, ou au moins amplifié, au niveau collectif pour permettre de nous maintenir dans un certain état. Mais bon, c'est en cours de nettoyage au niveau subtil par des énergies plus élevées que nous (archangéliques et non humaines entre autres). Le réveil risque d'être rude, c'est pour ça qu'il vaut mieux nettoyer les peurs collectives avant d'aller plus loin.
Ps : Pendant qu'on a eu la neige à Marseille, beaucoup d'arbres ont perdu des branches.
(neige = notion de purification, je n'en sais pas plus.) Quand j'ai demandé à un arbre à côté du boulot, qui a perdu deux énormes branches si ça lui faisait mal, il m'a répondu que non; qu'il lâchait simplement l'ancien qui ne sert plus. Cette année, cet arbre est en fleurs, alors que l'an dernier il n'avait presque pas fleuri. (c'est un vieil arbre).
Il m'a dit que le fait de ne plus entretenir des vieilleries qui ne lui servaient plus, laisse plus d'énergie pour le renouveau. Il sont souvent plus sages que nous, les arbres.
Un coup il fait beau, un coup il fait soleil, un coup il fait froid, un coup il fait chaud etc...
Ca fait des années que l'inconscient collectif a assimilé la notion de mauvais temps comme désagréable. Parce que, du coup, on ne va pas à la plage, parce que le vent très fort, ça fait peur, parce que si, parce que ça.
Bon, chaque fois qu'il pleut, que le vent souffle ou qu'une tempête fait rage, c'est qu'un nettoyage est en cours. En ce moment, nous avons droit à un gros nettoyage interne et il y a un gros nettoyage externe en parallèle : d'où le temps déglingué.
Ce n'est pas un signe de mauvaise santé de la planète, au contraire! A chaque nettoyage la nature est encore plus limpide, tellement que je ne la reconnais pas, chaque matin en me levant. Il n'est pas un matin où les choses ne se soient améliorées en réalité.
La plupart des gens sont aveugles à la nature. Le fait est que je n'ai aucun Ego vis à vis d'elle (j'ai grandi devant un pc), et que du coup maintenant je la vois plus ou moins telle qu'elle est (donc, toujours plus ou moins divine). Gaïa, par elle même, va très bien. Mais il faut comprendre une chose : qu'elle soit recouverte d'oxygène ou de gaz carbonique, ça ne change rien pour elle.
Les humains ont un gros souci égocentrique, qui fait qu'ils confondent leur société et la planète elle même.
La planète va plutôt bien, et elle est en train d'ascencionner pour que son corps (3D) rejoigne son esprit (5D).
Par contre, la société des humains ne va pas super bien, et les conditions de vie pour que l'humain continue d'exister sur la planète, c'est du boulot pour les maintenir. Vu que l'humain est dépressif suicidaire au niveau collectif, et qu'il essaye par tous les moyens de rendre la planète inhabitable pour lui.
En plus, il est dans le déni* de son état, et il continue à regarder les chiffres de la bourse, au lieu de se demander s’il va pouvoir respirer de l'oxygène encore longtemps. Gaïa (qui décidément est bien gentille) a décidé de nous emmener quand même avec elle. Du coup, le plus gros boulot consiste à aider Gaïa à maintenir un état viable pour nous, et pour ça, il faut lui envoyer l'énergie nécessaire.
Les esprits de la nature (vous savez les trucs qui n’existent pas, mais qui font que les radis et les plantes poussent spontanément tout seuls), ont besoin de beaucoup d'énergie pour faire leur boulot de nettoyage planétaire et maintenir l'équilibre pour nous. (ne parlons pas des orbs qui essayent de maintenir les champs magnétiques de la planète, pendant que nos tarés de sfr, bouygues et autre psychopathes suicidaires, continuent de nous faire gober que mettre des antennes qui perturbent le champ électromagnétique de tous les êtres vivants de la planète sur toute la surface du globe ou presque, est sans conséquence).
L'avantage c'est que, nous autres humains, sommes de super relais énergétiques, alors au boulot! Il est temps de se reconnecter à Gaïa pour relayer les énergies du ciel et lui permettre de nous aider.
* La folie suicidaire actuelle est niée mondialement. Un bon gros déni à l'ancienne.
Ce déni là, par contre, n'est pet être pas très naturel, et a peut être été implanté, ou au moins amplifié, au niveau collectif pour permettre de nous maintenir dans un certain état. Mais bon, c'est en cours de nettoyage au niveau subtil par des énergies plus élevées que nous (archangéliques et non humaines entre autres). Le réveil risque d'être rude, c'est pour ça qu'il vaut mieux nettoyer les peurs collectives avant d'aller plus loin.
Ps : Pendant qu'on a eu la neige à Marseille, beaucoup d'arbres ont perdu des branches.
(neige = notion de purification, je n'en sais pas plus.) Quand j'ai demandé à un arbre à côté du boulot, qui a perdu deux énormes branches si ça lui faisait mal, il m'a répondu que non; qu'il lâchait simplement l'ancien qui ne sert plus. Cette année, cet arbre est en fleurs, alors que l'an dernier il n'avait presque pas fleuri. (c'est un vieil arbre).
Il m'a dit que le fait de ne plus entretenir des vieilleries qui ne lui servaient plus, laisse plus d'énergie pour le renouveau. Il sont souvent plus sages que nous, les arbres.